Nosferatu le vampire

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Le Mal se répand comme par lui-même, semblant glisser comme le bateau sur l’eau ou Nosferatu qui traverse le champ comme en apesanteur. L’homme se jette seul à l’eau. Tous les personnages (Hutter, Ellen) traversent le champ comme les flots et un souffle (le Mal) semble contaminer la ville, d’abord par la fenêtre de la chambre. Le bateau semble entrer seul en ville en glissant. Puis le Mal circule et se répand : d’abord Nosferatu lui-même, Renfield puis les rats qui vont propager la peste. Le Mal semble circuler sans embûche, en glissant, par les portes qui s’ouvrent, les barques qui glissent sur l’eau, les passerelles posées, le journal lu, la salle dont tout le monde fuit, l’alerte et toutes les fenêtres qui s’ouvrent (c’est la voix qui répand maintenant la mauvaise nouvelle, donc le Mal), les croix (les morts) qui se multiplient et enfin, les cercueils portés dans la ville… jusqu’au…livre des vampires.

 

 

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